Le samurai de l’espace
Leiji Matsumoto était une légende. Malheureusement, il était une légende. Comme toute légende, il est mort. C’est ainsi que le 13 février 2023, le génial …
Leiji Matsumoto était une légende. Malheureusement, il était une légende. Comme toute légende, il est mort. C’est ainsi que le 13 février 2023, le génial …
Inutile de dire que le printemps est assez agité. La réforme des retraites n’y est pas pour rien. L’utilisation de l’article 49-3 n’a fait qu’alimenter un débat que tout le monde voyait venir. Tout le monde était prévenu… y compris le mur dans lequel la société française se dirige. Bref, nous vivons une époque imprévue !
En octobre dernier, un livre assez surprenant a été publié. Son titre : Dieu ? Le philosophe & le rabbin. Ce n’est pas tant le titre qui est surprenant que les auteurs, en particulier ledit philosophe. Il n’est nul autre que Michel Onfray ! Je dis que ce livre est surprenant. Attention, je ne veux pas dire que Michel Onfray n’a rien à dire sur Dieu. Au contraire, et il ne se prive pas de le dire comme il le pense , de manière directe et parfois assez caustique.
Une nouvelle année s’introduit dans nos vies. Sans que nous ne le lui ayons particulièrement demandé ; sans qu’elle n’y soit invitée. Certains d’entre nous s’en réjouissent, d’autres le déplorent, d’autres encore vont par sagesse attendre de voir ce que… attendez une minute. On dit d’habitude “voir ce que l’année nous réserve.” Bien sûr c’est une expression… impropre, mais nous la comprenons.
Cette année le Père Noël est passé tôt à la maison, déposant dans ma boîte aux lettres le dernier livre de Paul Wells, Croître en Christ. Dans ce petit livre (175 p.) sur la vie chrétienne, Paul Wells (professeur émérite à la Faculté Jean Calvin) s’inspire de l’image du jardinier qui cultive : Dieu veut nous planter, nous faire grandir, afin que nous portions du fruit.
Cette année j’aurai le plaisir de faire partie du jury du Concours de contes lancé par Plumes chrétiennes, qui encourage les auteurs chrétiens à s’investir dans une créativité d’excellence. C’est un grand honneur pour moi… ma passion pour la fantaisie, mon amour de la poésie, et la relation entre foi et art : tout m’a poussé à accepté cette invitation.
La nouvelle série d’Amazon, The Rings of Power, vient de se terminer. Comme il fallait s’y attendre, les critiques n’ont pas tardé. En fait, elles ont commencé avant même le lancement de la série. Normal. Tragique, mais normal. Toutes les séries en sont victime, mais vu la stature de Tolkien, il fallait s’attendre à ce que les critiques soient plus vives encore.
Je ne sors pas souvent dans le centre ville la nuit, mais après un dîner tardif avec des amis, nous sommes passés par St. Jean de Malte sur le chemin du retour et nous nous sommes arrêtés un moment dans la cour avant pour regarder l’église imposante qui veille comme une sentinelle sur son coin endormi de la ville
Le 28 mars 1972, J. R. R. Tolkien fut reçu au palais de Buckingham : il devait être nommé Commander of the British Empire pour son service envers la langue et la littérature anglaise. Grand évènement, immense honneur. Et pourtant Tolkien était un peu déçu car c’est la reine mère qui devait présenter l’insigne. Tolkien écrit alors à propos de la Reine : “Je suis l’un de ses sujets dévoués et je l’admire énormément.” Je n’imagine pas la surprise et la profonde joie de Tolkien lorsqu’il découvrit qu’Elizabeth II elle-même devait conférer les honneurs.
Oui, “poème pour Noël” parce que depuis le 26 juin, nous nous rapprochons de ce jour qui marque encore la marche de notre temps. Dès maintenant, le jour approche, ce jour qui nous habite constamment. En attendant, je partage ce modeste poème.